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Graduation en maternelles !


En janvier dernier, nous inscrivions Miss Z. à des cours de piano qu'elle continue depuis chaque semaine. Cela se passe dans une petite école de musique à proximité directe de notre ancien condo et qui nous avait été recommandée par une voisine.


Cela se passe dans une tout petit local d'à peine 15 m2.  



Il n'y avait au lancement de l'école qu'une seule prof de musique, la fondatrice Crystal (il faudra aussi que je fasse un jour un article sur les prénoms à sonorité anglicisante à Singapour, ce qui donne parfois des Johnny Tan ou Tony Lee). Mais rapidement, avec le bouche à oreille et le nombre grossissant d'élèves, elle a dû faire appel à une jeune étudiante de NAFA (Nanynang Academy of Fine Arts) pour l'épauler.



Et c'est donc Michelle qui donne des cours tous les dimanches matin à Miss Z. !


Et puis un jour, Crystal a invité tous les élèves de l'école de musique à participer à un spectacle de fête de fin d'année dans une école locale. Et oui, le calendrier des écoles singapouriennes est calqué sur l'année civile contrairement au système français. L'année scolaire commence donc début janvier et finit fin novembre.


C'est ainsi que Miss Z. a participé pendant 3 minutes à son premier recital de piano.



Ensuite, on a eu droit à la remise des diplômes à des élèves de... 5-6 ans ! On célèbre le fait qu'ils quittent le monde des petits pour entrer dans celui cruel de l'école primaire.



C'est complètement à l'anglo-saxonne avec discours en mandarin et en anglais, diaporama et photos de l'élève projeté en arrière-plan.



Et on a surtout eu droit au final avec le jeté du chapeau typique des graduation appelé mortarboard.

Le Mortarboard ou Oxford Cap, ce symbole de la réussite accadémique était à l'origine un chapeau de la Renaissance italienne, proche de la biretta portée par le clergé (d'où la deuxième partie de son nom ; le préfixe "mortar" - mortier venant de la similitude de l'objet avec le récipient utilisé par le mortier à l'époque).
Sources : www.victorias.fr

Quand on vous parle de choc culturel...
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