Vacances au Vietnam : Hanoï - J2
Après déjà une grosse première journée à visiter Hanoï à la descente de l'avion la veille, nous poursuivons notre visite de la capitale vietnamienne.
Situé un peu à l'extérieur du centre-ville d'Hanoï, nous devons prendre le taxi pour passer la matinée au musée d'ethnographie du Vietnam inauguré en 1997 entre autres par Jacques Chirac.
Apparemment, les moyens de transport ont très peu évolué depuis celui-ci...
comme on a pu le voir dans les rues de Hanoï où des policiers "essaient" de faire respecter la loi sauf si on leur glisse discrètement quelques billets...
Une partie du musée accueille également des collections et de la documentation sur les cultures et les civilisations d'autres nations du Sud-est asiatique.
Après la nourriture de l'esprit, on se remplit le ventre de quelques nems et d'un bo bun dans un restaurant d'application pour adolescents désœuvrés de Hanoï et qui se trouve au sein même du parc du musée.
L'après-midi, nous partons faire un tour au temple de la littérature ou sanctuaire du Prince propagateur des Lettres. C'est un temple confucéen situé dans la partie ouest de la vieille ville d'Hanoï est divisé en cinq cours intérieures séparées par des murs selon l'axe traditionnel chinois nord-sud.
L'allée principale avec des portes étaient réservée aux seigneurs, tandis que les petites allées de côté servaient aux domestiques, serviteurs et soldats.
Et de nous jours, il s'y passe encore des remises de diplômes en fin d'année scolaire....
avec la photo qui va bien avec pour la postérité...
ou le jet de chapeau de graduation !
Nous poursuivons notre visite de Hanoï à pied au gré de nos déambulations,
on croise toujours des marchands ambulants en tout genre,
vendeurs de beignets ou d'habits 100% made in Vietnam,
des vendeurs de brochettes dont l'odeur ressemble à s'y méprendre à celle des maskita de Tana,
des réparateurs de mobylettes sur le trottoir,
des coursiers avec un sens inouï de l'équilibre,
des pousse-pousse à touristes bien gras,
ou des étals de fruits inconnus au bataillon !
Plus surprenant, une église aux murs décrépis, l'Église Saint-Antoine-de-Padoue construite en 1934 pendant la période de l'Indochine française.
en plein centre d'Hanoï des devantures de maisons avec des portes comme à Aurillac (dixit Miss Z.),
et toujours autant de monde à deux roues, comme ici à la sortie d'une école !
Et parfois au milieu de tous ces cyclos, des poules !
La suite dans un prochain article sur la baie d'Halong !