Gardens by the bay par un jour de grand prix !
Ce dimanche, après ces dernières semaines où nous avions passé nos week-ends à aller faire les malls ou les géants de meubles pour s'équiper, nous décidons de nous mettre un peu au vert. Nous choisissons une des attractions phares de Singapour : Gardens by the bay.
Tout de suite, en sortant du métro, on découvre ce parc immense de plus 100 hectares, construit lui aussi comme le Marina Bay sur des terres gagnées sur la mer en important des tonnes de sable des pays voisins.
Fatigués par cette longue marche du dimanche matin dans cet immense parc, nous faisons une pause gastronomique en goûtant notamment un laksa, plat consommé en Malaisie, en Indonésie et à Singapour. C'est une sorte de soupe de nouilles épicées, riche et complète à base de lait de coco, de nouilles, de crevettes, de poisson ou de viande, parfumée de pâte de curry, de piment, de citronnelle et de coriandre.
Tout de suite, en sortant du métro, on découvre ce parc immense de plus 100 hectares, construit lui aussi comme le Marina Bay sur des terres gagnées sur la mer en important des tonnes de sable des pays voisins.
Puis, on aperçoit ces supertrees, sortes d'arbres artificiels hauts comme des immeubles de 16 étages. Ils produisent de l'électricité car ils sont bardés de panneaux solaires photovoltaïques, récupèrent l'eau de pluie qui sera filtrée par plusieurs bassins naturels avant d'être réutilisée par les 2 immenses serres voisines (oui oui, un peu comme ceux de Tanuès en quelque sorte, pas vrai Mr CDA ?)
Il y a même des passerelles à 127 mètres de haut qui les relient. Mais nous ne les avons pas essayées cette fois-ci !
De l'intérieur du parc, on se rend compte de l'immensité de l'hôtel depuis lequel nous avions fait une petite baignade la semaine dernière.
Puis, nous avons visité une des deux serres, celle qui s'appelle Cloud Forest. Celle à droite qui ressemble vaguement à la carapace d'un tatou (l'animal d'Amérique du sud, pas le bipper de France Telecom !)
Au moment de payer, surprise : il y a des tarifs différents entre les locaux et les étrangers (en gros, les touristes !). C'est pas un peu discriminatoire, ça ? Heureusement, nous avions notre EP (cette fameuse petite carte qui dit que nous travaillons à Singapour), ce qui nous a permis de payer le prix pour les local resident.
Dès qu'on entre, on voit une cascade immense,
des être bizarres qui prennent la pirogue,
des plantes carnivores qu'on s'est amusé à titiller pour les voir refermer leur "gueule",
des variétés de plantes en tout genre...
bref, des murs entiers de verdure...
à tel point que, parfois, on se croirait au fin fond de l'Amazonie ou sur l'île de Bornéo...
Bref, un véritable îlot de sérénité et de tranquillité au milieu de cette ville bouillonnante qu'est Singapour. Et puis quand nous sommes sortis, nous avons entendu ça :
Vous reconnaissez ? Et oui, c'était le jour du Grand Prix de Singapour ! On était sur la rive qui faisait face à la ligne d'arrivée, à presque 300 mètres et on entendait comme si on était juste à côté ! Je comprends maintenant pourquoi ils ont tous des casques anti-bruits...
Mais le pire, c'est quand on a su que le concert final était donné par...
De quoi vous donner envie de revenir s'enfermer illico dans la serre tropicale !