Hello Singapore 2019 !



A quelques heures de la nouvelle année, chers fidèles lecteurs de ce blog, que vous nous suiviez de France, de Navarre ou d'ailleurs, nous vous souhaitons tous nos meilleurs voeux pour 2019. A très bientôt pour d'autres articles sur Singapour et nos futurs voyages dans la région Asie-Pacifique.

En attendant, vous trouverez ci-dessous une courte vidéo carte postale réalisée en time-lapse avec quelques endroits inconiques de Singapour (Marina Bay, Lau Pa Sat, Chinatown, ..., etc.) où nous entamons déjà notre sixième année !




Singapour, l'une des villes les plus propres au monde


A Singapour, cracher dans la rue, jeter un mégot à terre ou encore oublier de tirer la chasse dans les toilettes publiques peut coûter (très) cher. Chewing-gums interdits, amendes faramineuses, milliers de caméras de surveillance... Voilà comment Singapour est devenue l’une des villes les plus propres au monde. Dans la cité-Etat, la moindre atteinte à la propreté ou à l’hygiène dans l’espace public est passible d’une amende minimale de 300 dollars singapouriens (soit 190 euros). à

C'est en octobre 1968 que le premier ministre et père fondateur Lee Kuan Yew lancera la campagne Keep Singapore Clean (“garder propre Singapour”). Le but proclamé étaot de faire de Singapour “la ville la plus propre d’Asie”. Mais il ne s’agissait pas seulement de rendre la ville plus agréable, En effet, selon le premier ministre Lee Kuan Yew, une ville plus propre pouvait contribuer à créer une économie plus forte en attirant les investisseurs et les touristes. 

Pourtant, si Singapour peut encore à bon droit revendiquer ce titre, la ville le doit davantage aujourd’hui à une armée d’agents chargés du nettoyage qu’à la crainte des amendes. La cité-Etat dépense chaque année 120 millions de dollars singapouriens pour assurer la propreté et l’hygiène des espaces publics,  alors même que beaucoup de ses agents (souvent des étrangers) restent sous-payés.